La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Cela fait des années que nous suivons le travail du réalisateur Will Thompson. Nous l’avions interviewé à l’occasion du Festival Young Director Award, qui n’a que son nom de « jeune » (en réalité c’est une vague imposture mais nous mis un peu de temps à nous en apercevoir, nous nous excusons donc platement d’avoir conseillé à des centaines de réalisateurs de payer pour inscrire leur films à cette réunion Cannoise de vieillards). Bref, aujourd’hui le réalisateur revient avec un court-métrage remarquable intitulé simplement « HORN ». Son idée ? Créer une sorte de récit surréaliste qui dépeint la rencontre d’un jeune garçon avec un étrange gardien qui le propulse dans un voyage abstrait et hallucinatoire à travers l’Amérique rurale. Le film a reçu le Grand Prix du Jury au Festival du Film de Nashville en 2016 et a été sélectionné pour le Festival de court-métrage Aesthetica. C’est sans doute le film le plus personnel du réalisateur et nous pensons qu’il représente vraiment sa voix en tant que cinéaste.
Elle est une jeune journaliste prédictive qui a contribué à la naissance d’APAR.TV. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un essai majeur autour de Steve Oklyn, l’auteur de LA SOCIÉTÉ DE L’ALGORY
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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