La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Il aura fallu visionner 1.715 films pour en sélectionner finalement 19 qui seront proposés au jury et pourront prétendre au titre suprême, la Palme d’Or. A noter que 4 de ses 19 films ont été réalisés par des femmes, un record pour le festival. L’hexagone, lui, est représenté par trois long-métrages. Il faudra attendre le 22 mai, que les cinéphiles aient digéré onze nuits blanches passées à visionner les pellicules du monde entier au son des bouchons de champagne, onze soirées où le tapis rouge aura été piétiné par tout ce que le cinéma compte de personnalités influentes et de créateurs visionnaires, onze journées donc, pour que le président du jury Monsieur Robert De Niro, himself, prenne la parole au côté de la maîtresse de cérémonie, Mélanie Laurent, et nous dévoile le nom du grand gagnant. Le prix Un Certain Regard n’aura jamais aussi ben porté son nom, puisqu’il sera présidé cette année par Emir Kusturica. Le traditionnelle Palme d’Honneur sera remise au réalisateur du Dernier Tango à Paris et de Little Buddha, Bernardo Bertolucci. Le 17 mai, une soirée spéciale mettra à l’honneur Jean-Paul Belmondo. L’ouverture du festival, quant à elle, sera confiée aux mains de Woody Allen et de son Midnight in Paris.
Voici les films sélectionnés en compétition officielle :
La piel que habito de Pedro Almodovar L’Apollonide de Bertrand Bonello Le Gamin au vélo de Jean-Pierre et Luc Dardenne Il était une fois en Anatolie de Nuri Bilge Ceylan Hanezu no Tsuki de Naomi Kawase Pater d’Alain Cavalier
Footnote de Joseph Cedar
Le Havre d’Aki Kaurismäki Sleeping Beauty de Julia Leigh Polisse de Maïwenn
The Tree of Life de Terrence Malick
La source des femmes de Radu Mihaileanu Ishimei de Takashi Miike
Habemus Papam de Nanni Moretti
Melancholia de Lars Von Trier
We need to talk about Kevin de Lynne Ramsay Drive de Nicolas Winding Refn This must be the place de Paolo Sorrentino Michael de Markus Schleinzer
Voici les films sélectionnés dans la catégorie Un certain regard :
Restless de Gus Van Sant (en ouverture)
The Hunter de Bakur Bakuradze Halt auf freier Strecke d’Andreas Dresen Hors Satan de Bruno Dumont Marty Marcy May Marlene de Sean Dorkin Les neiges du Kilimandjaro de Robert Guédiguian Skoonheid de Oliver Hermanus The day he arrives de Hong Sang-Soo Bonsaï de Christian Jimenez Tatsumi d’Eric Khoo Et maintenant, on va où ? de Nadine Labaki Ariang de Kim Ki-Duk Toomelah d’Ivan Sen Oslo, August 31st de Joachim Trier L’exercice de l’Etat de Pierre Schoeller Travailler fatigue de Juliana Rojas et Marco Dutra Miss Bala de Gerardo Naranjo Loverboy de Catalin Mitulescu Yellow Sea de Na Hong-jin
Films présentés hors compétition :
Minuit à Paris de Woody Allen (Film d’Ouverture)
Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence de Rob Marshall
Kung Fu Panda 2 de Jennifer Yuh
Le Complexe du Castor de Jodie Foster
The Artist de Michel Hazanavicius La conquête de Xavier Durringer
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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