Alors que la guerre en Ukraine fait rage, Candace Owens détient un enregistrement où Trump supplie de taire une enquête sur Brigitte Macron, sous peine de voir la paix compromise. Des centaines de milliers de vies sont en jeu...
Un méga-contrat d’armement, un film financé par des fonds indiens et des soupçons de corruption : l’enquête sur la vente de 36 avions Rafale à l’Inde en 2016 s’intensifie, plaçant l’ancien président François Hollande et sa compagne, Julie Gayet, sous une pression croissante.
Entre punaises de lit et complots, nos élites jouent les clowns dans une tour de Babel, laissant Poutine triompher sans effort ! Tour d'horizon vertigineux.
Il a, dernièrement, largement dépoussiéré l’image des savons Lux, en la rajeunissant sans trahir cette volonté de haut de gamme, grâce à une réalisation superbement cinématographique. Andreas Bruns avait également été remarqué lors des Young Director Award avec un film pour Mercedes Benz, tout aussi marqué par le 7ème art, mais beaucoup plus poétique. C’est qu’Andreas Bruns est capable de changer de style, son leitmotiv est clair : l’histoire. Le réalisateur est avant tout un narrateur. « Pour résumer une longue histoire, je vis pour raconter des histoires. » À l’image de son ami Andreas Roth, le jeune homme est pétri de talent et s’il sait raconter les histoires, il les pense en images. Comme un grand écrivain qui manierait l’objectif plutôt que la plume. Tout y est : les ellipses, les twist ending, les effets de personnages, les jeux de changement de personnes… ne manque qu’une chose : un long métrage.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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