La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Dire que le dernier film de Bernard-Henri Lévy « Slava Ukraini » (« Gloire à l’Ukraine »), sorti en salle mercredi 22 février n’est pas un succès commercial, est un euphémisme. Pour son premier jour d’exploitation, il ne se classe que 11e film sur 14 sorties dans les cinémas français.
Il n’enregistre même que 208 entrées pour le jour de sa sortie, ce qui fait très peu au regard des très nombreux entretiens réalisés dans la presse pour présenter son œuvre, coréalisée avec le photographe de guerre Marc Roussel. Loin, très loin des 64 923 entrées de « The Fabelmans », de Steven Spielberg ou des 38 491 entrées du film d’Eric Besnard « Les Choses simples ».
Des commentaires affligés
Le documentaire très engagé suit Bernard-Henri Lévy dans un périple auprès des militaires qui combattent sur les fronts est et sud et de la population ukrainienne. En casque et gilet pare-balles ou en chemise blanche au col ouvert, le philosophe obtient des témoignages poignants ou dresse des portraits plutôt bien ciselés. Mais pas au goût du public manifestement.
Les rares commentaires du film ne sont pas très encourageants. « Trop loin des lieux de combats », « une voix off lente, mal interprétée », « un documentaire ridicule », un « mauvais reportage sans nuance et partisan »… La plupart des critiques sont très sévères mais une poignée vient évoquer « un chef-d’œuvre », un « incroyable road-trip » ou encore un « film fort, poignant, qui déroule la tragédie vécue en Ukraine… »
BHL habitué des flops
Mais BHL n’en est pas à son premier mauvais coup. Il est, d’un point de vue cinématographique, un habitué des flops. En 1997, son premier filme « Le jour et la nuit », qui met notamment en scène sa femme Arielle Dombasle et la légendaire actrice américaine Lauren Bacall n’enregistre que 73 147 entrées dans toute la France. En 2010, un long métrage est l’objet même d’un documentaire réalisé par Carole Mathieu et Thierry Humbert, intitulé « Autopsie d’un massacre ».
Pire, en 2012, BHL réalise un film sur son engagement en Libye pour la chute de Kadhafi. « Le Serment de Tobrouk » est même présenté en sélection officielle lors du festival de Cannes, hors compétition, mais sera très vivement critiqué. Niveau fréquentation, le naufrage est consommé avec 2 450 entrées, selon Allociné. Dans un autre registre, la pièce de théâtre « Hôtel Europe » en 2015 a dû être déprogrammée faute de public…
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