La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Le cinéma est depuis toujours un œil ouvert sur le monde, parfait mélange de vérité et de spectacle. Et c’est modestement ce que nous avons voulu mettre en lumière ici. A l’heure où plus rien n’est gratuit, on a voulu vous sélectionner des œuvres d’immenses réalisateurs tel que Alfred Hitchcock, Carl Theodor Dreyer, Luis Buñuel, Henri Verneuil, François Truffaut ou plus récemment Michel Hazanavicius, sans que cela ne vous coûte un seul centime. Ce qui va faire plaisir à Jean-Luc Godard qui avait déclaré, « quand j’entends le mot culture, je sors mon carnet de chèques… »
Le Voyage dans la Lune (1902) de Georges Méliès Synopsis : Le professeur Barbenfouillis et six autres « astronautes » s’organisent pour une expédition sur la lune au moyen d’un canon géant de 300 mètres de long.
Les cheveux d’or (1927) de Alfred Hitchcock avec June, Malcolm Keen, Helena Pick Synopsis : À Londres, l’« Avenger », un tueur en série assassine des jeunes femmes blondes, dans le style de Jack l’éventreur.
Un chien andalou (1929) de Luis Buñuel avec Luis Buñuel, Pierre Batcheff, Simone Mareuil Synopsis : Tout commence sur un balcon où un homme aiguise un rasoir. La suite est une série de métamorphoses surréalistes.
Plus fort que le diable (1954) de John Huston avec Robert Morley, Peter Lorre, Ivor Barnard Synopsis : Une petite ville portuaire du sud de l’Italie est le lieu de passage et de rencontre d’un quartette international de petits truands et d’un couple d’aventuriers fauchés. Tous se font passer pour ce qu’ils ne sont pas et tous recherchent la fortune, ce qui les mène à bord d’un vieux cargo sur la piste d’un gisement d’uranium en Afrique.
12 hommes en colère (1957) de Sidney Lumet Synopsis : Douze jurés doivent décider du sort d’un jeune immigré, accusé de parricide. Tous le croient coupable sauf un, qui a de sérieux doutes sur l’enquête.
L’Enfant sauvage (1970) de François Truffaut avec Annie Miller, Claude Miller, François Truffaut Synopsis : L’histoire d’un « enfant-loup » découvert en 1798, en pleine foret. D’après le récit écrit par un médecin au début du siècle.
Morgane et ses nymphes (1971) de Bruno Gantillon avec Dominique Delpierre et Régine Motte Synopsis : En Auvergne, sur la route des vacances, Françoise et Anna tombent en panne et passent la nuit ensemble en pleine nature. Au matin, Anne a disparu. Son ami part alors à sa recherche et rencontre un nain, qui la guide vers un mystérieux château. La maîtresse des lieux, Morgane, lui propose de faire partie de ses concubines. Si Françoise refuse, elle sera immédiatement jetée au cachot.
La Question (1977) de Laurent Heynemann avec Nicole Garcia, Jacques Boudet, Michel Beaune Synopsis : En 1957, à Alger, les parachutistes français font régner l’ordre. Henri Charlegue (Jacques Denis), directeur d’un quotidien interdit, est passé dans la clandestinité et soutient la révolution algérienne. Il est ami avec Maurice Oudinot (Christian Rist), jeune professeur à la faculté des Sciences que l’on soupçonne d’etre membre du F.L.N le 11 Juin au soir, Maurice est arreté. Le 12 au matin, Henri Charlegue arrive chez son ami pour lui communiquer des instructions et tombe dans la souricière tendue par les parachutistes. Il est aussitôt conduit à El Biar, centre de triage et d’interrogation. Pour Maurice et Henri les tortures commencent. Une nuit Maurice s’écroule, mort. Par une adroite mise en scène, on maquille l’assassinat de Maurice en évasion, et Henri est transféré dans une prison. C’est de là que, feuillet par feuillet, sort clandestinement le récit d’Henri Charlegue qui ébranlera la conscience internationale. Grâce aux épouses de Maurice et Henri, une formidable campagne de presse se déploie. Assisté par son avocat qui le retrouve, Henri peut alors porter plainte contre ses tortionnaires. Son combat reste inutile : en juin 1960 il est condamné à 10 ans de prison pour « atteinte à la sureté de l’État ». Mais, admis comme malade à l’hôpital de Rennes, il s’en évadera.
Les Dieux sont tombés sur la tête (1980) de Jamie Uys avec Marius Weyers, Sandra Prinsloo, Xao Synopsis : Une bouteile de coca-cola, jetee d’un avion, atterrit en plein milieu d’un village bushmen. Ce don des dieux seme la discorde dans la tribu qui n’a de cesse de s’en debarrasser.
En attendant Godot (1989) de Walter Asmus avec Jean-Pierre Jorris, Jean-François Balmer, Roman Polanski
La Classe Américaine, le grand détournement (1993) film de Michel Hazanavicius et Dominique Mezerette avec Michel Hazanavicius, Jean-Yves Lafesse, Marc Cassot Synopsis : Le film est exclusivement composé d’extraits de vieux films de la Warner, montés et doublés afin de créer une nouvelle œuvre inédite.
Va, vis et deviens (2005) de Radu Mihaileanu avec Mosche Abebe, Sirak M. Sabahat, Itzhak Adgar Synopsis : En 1984, une opération israélienne rapatrie les juifs éthiopiens. Une mère pousse son fils à faire semblant d’être juif pour échapper la famine et la pauvreté.
Elle est une jeune journaliste prédictive qui a contribué à la naissance d’APAR.TV. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un essai majeur autour de Steve Oklyn, l’auteur de LA SOCIÉTÉ DE L’ALGORY
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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