Dans un scandale qui ébranle les fondations de la protection de l'enfance en France, de nouvelles révélations émergent sur l'affaire Pierre-Alain Cottineau, un ancien militant de La France Insoumise (LFI) soupçonné d'avoir orchestré un réseau pédocriminel d'une violence inouïe.
Dans une vidéo choc publiée ce matin sur sa chaîne YouTube, l'économiste renommé Marc Touati, président du cabinet ACDEFI et suivi par plus de 234 000 abonnés, tire la sonnette d'alarme sur les mesures budgétaires dévoilées la veille par le Premier ministre François Bayrou.
Alors que l'avocat controversé Juan Branco fait face à une procédure disciplinaire pouvant mener à sa radiation du barreau de Paris, un rassemblement de soutien prévu demain, le 16 juillet, devant la Maison du Barreau, suscite des tensions avec les autorités.
Ceux qui aiment Araki lui trouveront toujours des circonstances atténuantes, ceux qui le honnissent n’en démordront pas, ceux qui, enfin, tentent de prendre chaque œuvre isolément feront bien de passer leur tour cette fois-ci. Sous une plastique plastique, sous des dehors moquant le conformisme petit bourgeois de l’American Way of Life, que nous raconte ce film ? Et bien à vrai dire pas grand chose, comme souvent. Certes on a un peu d’adolescence, un chouille d’homosexualité plus que latente, un zeste de nostalgie des 80’s/90’s (à croire que les gens qui pleurent ces années sont vraiment en pleine illusion), le triptyque minimal d’Araki en somme. Mais si l’on cherche autre chose, voire quoi que ce soit alors là on se retrouve vite en berne. Une image belle mais molle et monotone, une intrigue pâlotte, un casting de qualité mais horriblement mal dirigé à faire passer du Dario Argento, du Rohmer ou du Lellouch (suivant les bêtes noires personnelles) pour du Mankiewicz. Eva Green est somptueuse mais systématiquement hors les murs, Chris Meloni a la bouche pleureuse et les épaules tombantes, Shilo Fernandez est réduit à sa plastique, seule Shailene Woodley serait susceptible de faire la différence mais non. Non, parce que la manie horripilante de coller les protagonistes à gauche et à droite de l’écran ou bien seuls annonant au centre de l’écran face caméra finit par agacer puis lasser. Ce n’est plus un parti pris, c’est a minima une facilité voire un mépris fait au spectateur. Je vous ai parlé de l’intrigue ? Non ? Normal, elle est tellement cousue de fil blanc pour qui connait « l’univers Arakien » qu’elle pourrait sembler être allégorique. Sauf qu’il n’y a pas de fond. En résumé c’est dur d’être ado aux Etats-Unis mais c’est pas facile non plus d’être adulte. Dingue non ? Il y a près de 15 ans Sam Mendès racontait la même chose avec American Beauty avec autrement plus de panache.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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