La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Carla Bruni était entendue dans les locaux de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) à Nanterre ce jeudi 2 mai. (Illustration) REUTERS/Benoit Tessier
La chanteuse et mannequin Carla Bruni-Sarkozy est entendue ce jeudi matin comme mise en cause par les enquêteurs dans l’information judiciaire portant sur la rétractation de l’intermédiaire Ziad Takieddine, qui accuse Nicolas Sarkozy d’avoir financé sa campagne présidentielle 2007 avec des fonds libyens, a appris l’AFP de source judiciaire. Une information confirmée par une source proche du dossier au Parisien.
Déjà entendue comme témoin dans ce dossier en juin 2023, Carla Bruni-Sarkozy est cette fois interrogée en audition libre de personne mise en cause dans les locaux de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) à Nanterre. L’ancien chef de l’État a été mis en examen dans ce dossier début octobre, pour recel de subornation de témoin et association de malfaiteurs en vue de la préparation d’escroqueries au jugement en bande organisée.
« Volonté de dissimulation »
D’après des éléments de l’enquête, Carla Bruni-Sarkozy avait d’abord été entendue comme témoin simple notamment car « Mimi » Marchand, de son vrai nom Michèle Marchand, figure de la presse people, également mise en cause dans le dossier, avait argué de rencontres avec son amie épouse de Nicolas Sarkozy pour justifier de déplacements au domicile du chef de l’État à des moments clés de l’opération.
Mais selon une source proche du dossier, le juge d’instruction s’est depuis interrogé sur divers éléments à charge, et notamment sur une « volonté de dissimulation » de Carla Bruni alors que tous ses messages échangés avec Mme Marchand auraient été supprimés le 5 juin 2021, jour de la mise en examen de cette dernière.
Onze protagonistes dans ce dossier
L’ex-mannequin est donc soupçonnée d’avoir joué a minima un rôle de point de contact dans ce dossier entre différents protagonistes. Des auditions ont été réalisées ces derniers mois dans son entourage, a indiqué à l’AFP une autre source proche du dossier.
L’affaire a explosé en novembre 2020 lorsque Ziad Takieddine, principal témoin à charge contre Nicolas Sarkozy depuis 2012, avait opéré une spectaculaire volte-face sur BFMTV et Paris Match en déclarant que l’ex-chef de l’État n’avait « pas touché un centime, cash ou pas cash, pour l’élection présidentielle » 2007 de la part du défunt dictateur libyen Mouammar Kadhafi.
En fuite au Liban, pour échapper à sa condamnation dans l’affaire Karachi, Ziad Takieddine était revenu sur ses propos deux mois plus tard devant les magistrats instructeurs. Le PNF a ouvert en mai 2021 une information judiciaire sur ces faits, avant une première vague d’interpellations le mois suivant, qui a notamment concerné la « reine des paparazzis ».
Dans ce dossier, ce sont désormais onze protagonistes, en comptant Carla Bruni-Sarkozy, qui sont soupçonnés d’avoir œuvré, à des moments et degrés divers, dans cette opération qui aurait principalement visé à tromper la justice française.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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