Dans les couloirs feutrés des startups de Tel-Aviv, dans les laboratoires high-tech de Haïfa, et jusque dans les salles d’opération des hôpitaux de Jérusalem, un mot d’ordre silencieux mais implacable s’est répandu : partir.
Aujourd'hui, alors que la lumière se pose sur un scandale d'abus sexuels rituels impliquant des membres du Knesset israélien, une ombre inquiétante plane sur Paris.
Après avoir distancé Elon Musk sur des questions économiques, le président américain s’en est pris hier, lundi 16 juin 2025, à l’un de ses anciens alliés les plus emblématiques : Tucker Carlson. Dans un message cinglant publié sur Truth Social Donald Trump a qualifié le commentateur conservateur de « kooky » (farfelu), insistant sur le fait que « l’Iran ne peut en aucun cas posséder une arme nucléaire ».
Une attaque qui fait suite aux critiques de Carlson contre l’implication potentielle des États-Unis dans le conflit Israël-Iran, et qui soulève des questions sur la cohésion de la base trumpiste.
Pire encore : Trump semble perdre, un à un, ses soutiens les plus fidèles, dans un climat de discorde alimenté par des influences financières controversées, notamment celles de la milliardaire pro-Israël Miriam Adelson.
No he’s not. He’s attacking Tucker Carlson bc Tucker named his donors who are supporting this war. He took 100 million from Miriam Adelson. She wants war in Iran, Gaza and to annex the West Bank in return.
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive