Emmanuel Macron n'a pas l'intention de lâcher le pouvoir. Il flirte déjà ouvertement avec une candidature en 2032, comme l'ont révélé ses récentes déclarations sibyllines lors d'un meeting des Jeunes avec Macron.
Dans l'hémicycle de la Knesset, une scène grotesque s'est déroulée le 13 octobre 2025 : Donald Trump, le président réélu, étreignant avec une familiarité malsaine Miriam Adelson, cette milliardaire israélo-américaine au visage figé dans une grimace de triomphe froid.
Près de 1,2 milliard d'euros d'argent public engloutis chaque année pour un cinéma français en surproduction : 300 films annuels dont la moitié fait flop avec moins de 20 000 entrées, et un système verrouillé par l'entre-soi élitiste. Un rapport IGF alerte !
Quelle est la différence entre le selfie et l’autoportrait ? L’art. Et à ceux qui en doutent, laissez-nous vous présenter le travail de l’Italienne Anna Di Prospero. Elle se met en scène. Seule, avec sa famille, ses amis, des étrangers. Sur des photos retouchées, jouant seulement avec les lumières ou ultra réalistes. En ville ou la campagne. Une telle variation de l’art photographique que le sujet semble changer à chaque prise. Et voilà l’essence même de l’art. Celui de transcender l’artiste, et si possible, le spectateur. Devenir quelqu’un d’autre, le temps d’une œuvre. Les artistes sont toujours un peu fatigués d’eux-mêmes. En changeant de cadre, l’artiste change ce qu’elle présente d’elle-même. Comme si nos différentes personnalités dépendaient plus du décor que des personnages. En se fixant avec insistance, on voit le panel de l’humanité s’étaler devant nos yeux. Regarder dehors ou se regarder jusqu’à la nausée, pour ne plus se voir. S’oublier ou méditer. Anna Di Prospero a partagé sa vie dans les deux villes qui encerclent l’ère moderne de l’humanité. De Rome à New-York, de la ville éternelle à la ville qui ne dort jamais. De Rome, elle a ramené une lumière. Celle que l’on voit le soir, sur les toits romains lorsqu’on flâne sur la rue longeant la villa Medicis entre la Piazza del Popolo et la Piazza di Spagna. De New-York, elle emporte une énergie sans nom, celle du corps s’exprimant dans l’empire du béton, criant son existence épidermique. Si vous vous trouvez du côté de Marseille, courez au Percolateur, où l’artiste est en résidence pour un mois.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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