Pablo Shah, économiste senior au Center for Economics and Business Research (CEBR), a averti que la capitale de Londres avait perdu son aura en tant que lieu de travail «amusant», en particulier pour les personnes des industries numériques et créatives.
Trouver Londres ennuyeux était impossible il y a peu. Mais aujourd’hui, il est vrai, que c’est une ville fantôme. Tout le monde travaille à domicile. De nombreuses entreprises comme Google ont même autorisé leurs employés à travailler l’année prochaine directement de chez eux. Londres ne ressemble plus à rien. Elle n’est que l’ombre d’elle-même.
Les employés n’iront plus déjeuner et n’iront plus faire des « after-work ». La perte financière va être colossale. La fuite des cerveaux a déjà commencé. De New York à Los Angeles en passant par San Francisco, Miami, Tokyo, Berlin, Seoul ou Milan. L’impact émotionnel et culturel commence à se faire sentir partout.
Tout le monde veut tout réinitialiser et pourtant rien ne se passe. La gentrification avait déjà détruit toutes les mégalopoles, la pandémie les finit.
Il en va de même pour New York, Los Angeles, San Francisco, Miami, Tokyo, Paris, Berlin, Seoul ou Milan. Tout le monde dira donc demain :
New York City n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Los Angeles n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
San Francisco n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Miami n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Tokyo n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Paris n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Berlin n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Seoul n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Milan n’est plus ‘fun’ ou ‘cool’
Le monde des métropoles est terminé. Au suivant. Place à la pleine conscience.