Moins de 24 heures après l'attentat fatal contre Charlie Kirk, Benjamin Netanyahu envahit les ondes US avec une empathie surjouée, inédite pour un dirigeant qui snobe les 41 000 victimes de Gaza. Pourquoi cette "alarme à l'œil" sélective ? Notre rapport confidentiel démonte les faux-semblants...
Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
Le rappeur Bryson Gray a momentanément détrôné Adele de la première place du site de musique iTunes d’Apple avec une chanson anti-Biden intitulée « Let’s Go Brandon ». Phénomène passionnant qui risque fortement d’arriver en France. Imaginez la foule crier dans les manifestations « Let’s Go Manu ».
C’est devenu le cri de ralliement de la base républicaine. « Let’s Go Brandon », ce slogan anti-Biden s’affiche désormais dans les stades ou sur les casquettes, se décline en chanson, se propage sur Twitter et jusqu’aux travées du Congrès. Mais que signifie t-il? Tout débute le 2 octobre lors d’une interview locale d’un coureur automobile, Brandon Brown, après sa victoire lors d’une course de Nascar. La journaliste lui fait remarquer que la foule chante « Let’s go Brandon ». En réalité, on entend distinctement la foule scander: « Fuck You Biden! » (« Biden, va te faire f… »).
La séquence est, depuis, devenue virale. Pour une partie des Républicains, c’est désormais aussi une façon édulcorée d’insulter Joe Biden sans répéter le mot « Fuck », mot grossier habituellement proscrit de tout discours éduqué.
C’est ainsi qu’on a vu ces dernières semaines des responsables politiques républicains de premier ordre reprendre la formule. Parmi eux figure le très trumpiste gouverneur de la Floride, Ron DeSantis. Dans un discours prononcé à West Palm Beach, ville où Donald Trump s’est retiré dans son luxueux club de Mar-A-Lago, Ron DeSantis a ainsi raillé « l’administration Brandon ».
Jeff Duncan, élu de la Caroline du Sud, a arboré un masque « Let’s Go Brandon » à la Chambre des représentants. L’élu républicain de Floride, Bill Posey, a prononcé la phrase au Congrès. Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a lui tweeté la phrase. Le sénateur Ted Cruz, autre poids lourd républicain, a posé derrière une pancarte « Let’s Go Brandon ».
Concluant un vol de Houston à Albuquerque, un pilote de Southwest Airlines a répété les mots dans un message diffusé en cabine. Dénonçant une conduite « inacceptable », la compagnie aérienne a dans la foulée lancé une enquête interne.
Du côté des autorités sportives, notamment universitaires, on observe le phénomène avec inquiétude. Le slogan est repris en chœur dans de nombreux stades et autres lieux de compétitions aux Etats-Unis, en particulier les circuits Nascar, connus pour attirer un public issu des milieux blancs et populaires. Vendredi, le patron de Nascar, Steve Phelps, a averti que son organisation ne tolérerait pas de voir son logo associé avec l’injure.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
Entre punaises de lit et complots, nos élites jouent les clowns dans une tour de Babel, laissant Poutine triompher sans effort ! Tour d'horizon vertigineux.
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Une révélation troublante secoue le Royaume-Uni à l’aube de la prise de fonction de Blaise Metreweli, première femme nommée à la tête du MI6, le service de renseignement extérieur britannique.
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