Un homme de 50 ans, ancien photographe free-lance travaillant pour la mairie de Versailles, a été condamné à 13 ans de réclusion criminelle le 30 mai dernier par la cour criminelle des Yvelines.
La France traverse une période de turbulences majeures. Avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et son agenda protectionniste, les géants français LVMH et Total se mobilisent à Washington pour contrer une surtaxe de 20 % qui menace leurs profits.
C’est vrai que le pitch n’est pas forcément des plus excitants : suivre l’artiste Ai Weiwei. Surtout à l’époque où Alison se lance dans l’aventure, c’est-à-dire avant que Ai devienne l’un des artiste chinois les plus reconnus et un activiste politique international. Mais les chemins de la vie décident parfois pour nous. Après ses études, Alison déménage à Pékin pour apprendre le mandarin et devenir réalisatrice de documentaire et journaliste. « C’est là-bas que j’ai acheté ma première caméra. J’essayais de me faire remarquer par la télé ». En 2008, un ami lui demande de faire une vidéo qui sera exposée dans l’expo new-yorkaise de Ai Weiwei. « Je pense qu’il y a eu un lien évident entre nous. Moi, une Américaine vivant à Pékin, et lui qui a été un jeune Chinois aux Etats-Unis ».
Alison finit le court et l’artiste adore. Elle décide donc de le suivre. Elle voyage autour du monde avec lui, filmant, non seulement ses installations, mais aussi ses prises de positions sur les droits de l’homme, la démocratie et ses investigations sur la mort des étudiants lors du tremblement de terre du Sichuan en 2008. Le film, Ai Weiwei : Never Sorry est actuellement en postproduction. Le projet a pris encore une nouvelle ampleur quand en avril dernier Ai est arrêté par les autorités chinoises. La mobilisation de la communauté internationale mènera à sa libération en juin.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
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