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Âgé d’un an, Preston a été violé à mort par un couple (dont un directeur d’école) qui allaient l’adopter

Aujourd’hui, alors que le monde numérique s’embrase autour de l’affaire Preston Davey, il est de notre devoir, en tant que plateforme culturelle et prédictive, de poser un regard lucide et humain sur cette tragédie.

Âgé d’un an, Preston a été violé à mort par un couple (dont un directeur d’école) qui allaient l’adopter

Cette affaire, qui a émergé avec une viralité troublante sur les réseaux sociaux – notamment via un post X de @AFpost le 15 juin 2025 (X post de AF Post) – soulève des questions profondes sur la justice, la protection des enfants et les dangers de la désinformation.

Les faits bruts : Une enquête en cours

Le 27 juillet 2023, Preston Davey, un bébé de 13 mois, a été admis à l’hôpital Victoria de Blackpool dans un état critique, pour être déclaré décédé peu après. Selon la police du Lancashire, cette affaire a conduit à l’inculpation de deux hommes, Jamie Varley, 36 ans, et John McGowan-Fazakerley, 31 ans, tous deux résidant à Grimsargh et en cours d’adoption de l’enfant au moment des faits (Déclaration de la police sur l’affaire Preston Davey).

Les charges, annoncées le 12 juin 2025 après une réarrestation le 11 juin, sont d’une gravité extrême : Varley est accusé de meurtre, d’agressions sexuelles sur un enfant de moins de 13 ans, de cruauté, et de possession d’images indécentes, tandis que McGowan-Fazakerley est inculpé de cause et permission de la mort d’un enfant, de cruauté et d’agression sexuelle (Charges autorisées après le décès d’un garçon de 13 mois).

Les deux hommes ont comparu le 13 juin 2025 devant le tribunal de Lancaster, avec un procès à venir (le procès de l’accusé).

Ces détails, confirmés par des sources officielles comme le Crown Prosecution Service (CPS) et la police, révèlent une enquête complexe et sensible. Varley, enseignant à South Shore Academy, a été suspendu dès son arrestation initiale en 2023, l’école précisant que les charges ne concernent pas ses élèves (Enseignant accusé d’abus et meurtre).

Pourtant, l’image de Preston, partagée sans discernement sur X, a transformé cette affaire en un spectacle macabre, alimentant des réactions viscérales.

Une réaction publique polarisée

Le post initial de @AFpost, qui a propulsé cette affaire sur la scène publique, a présenté l’histoire avec une tonalité sensationnaliste, insistant sur l’orientation sexuelle des accusés et exploitant la photo de l’enfant (X post de AF Post).

Les commentaires qui ont suivi ont dérivé vers des généralisations toxiques : « Tous les homosexuels sont pédophiles » ou « Les gays ne devraient pas adopter », reflétant une vague de préjugés amplifiée par des images historiques et des discours extrémistes.

Ces réactions, bien que choquantes, ne sont pas surprenantes dans un climat où les réseaux sociaux servent de caisse de résonance à la peur et à la haine.

Cependant, les faits ne soutiennent pas ces assertions. Selon des études et des données du NSPCC, les abus sur enfants sont le plus souvent commis par des personnes proches, indépendamment de l’orientation sexuelle (Étude sur les abus et protection des enfants).

Recently published case reviews | NSPCC Learning
A list of the child safeguarding practice reviews, serious case reviews, significant case reviews and child practice reviews added to the national case review repository from the last five years.

Une réflexion sur la protection des enfants

Cette tragédie soulève des questions légitimes sur les processus d’adoption et de protection de l’enfance en Angleterre.

Le système, tel que décrit par le NSPCC, repose sur des évaluations rigoureuses et des suivis continus, avec des ordres de placement permettant l’adoption si elle est jugée dans l’intérêt supérieur de l’enfant (Child protection system for England | NSPCC Learning).

Pourtant, cette affaire suggère des failles possibles dans l’évaluation des candidats ou dans la surveillance post-adoption. Sans préjuger des conclusions judiciaires, elle appelle à une révision des protocoles pour garantir que de tels drames ne se reproduisent pas.

Une justice à venir


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