Un scandale pédocriminel impliquant Charlène de Monaco, révélé en 2022, continue de susciter des préoccupations majeures, notamment chez Emmanuel et Brigitte Macron.
Le 6 juin 2025, le réseau social X et la plateforme de marchés prédictifs Polymarket ont officialisé un partenariat stratégique qui pourrait redéfinir la manière dont nous percevons et utilisons les informations en ligne.
Dans un paysage audiovisuel français (PAF) déjà saturé de promesses non tenues, T18 s’est lancée avec l’ambition autoproclamée de dépoussiérer la télévision. Résultat ? Une catastrophe retentissante qui, dès ses premiers pas, a transformé cette nouvelle chaîne en cible privilégiée des moqueries.
Cela faisait près d’un an qu’il circulait entre les festivals, laissant entrevoir une image ici, une critique là. À Tout Prix courait sur le web comme une rumeur. Une rumeur alléchante. À peine en ligne depuis quelques heures, nous le partageons avec vous. Yann Danh a du talent et c’est peu de le dire. Le pitch, si l’on excepte l’aspect politique qui a tout de même l’immense avantage de placer le récit dans une contemporanéité d’autant plus agréable qu’elle est rare dans la production hexagonale, le pitch donc, est plutôt déjà vu. Les références fusent au fil des minutes. Mais ici, le rythme, l’excellent jeu des acteurs (Franck Sarrabas, Pascal Hénault, Simon Frenay, Marc Duret dont le visage vous est surement connu pour avoir collé une balle à Vincent Cassel dans La Haine), les lumières et le montage servent parfaitement la narration. Pour que chaque rebondissement soit à la fois réellement surprenant, mais surtout, paraisse le dernier. Un récit impeccable, servi par une image dont un tel professionnalisme est rarement atteint pour un court métrage. Un petit régal d’histoire, à couches multiples. Entre le triolisme existentialiste du Huis clos de Sartre et le Ghost Dog de Jarmusch. Yann Danh continue de travailler sur son premier long, Implacable, on a hâte.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
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