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54 ans, député anticorruption, retrouvé "suicidé" à l’aube d’un scandale retentissant

Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député français et figure respectée des Républicains (LR), a été retrouvé mort à son domicile, officiellement victime d’un "suicide" à l’âge de 54 ans.

54 ans, député anticorruption, retrouvé "suicidé" à l’aube d’un scandale retentissant

Selon les déclarations officielles, il s’agirait d’un suicide. Pourtant, cette annonce soulève de nombreuses interrogations, notamment en raison du profil atypique de Marleix, reconnu comme un fervent combattant contre la corruption, et de troublantes coïncidences entourant sa mort.

Un parcours politique exemplaire

Olivier Marleix n’était pas un député comme les autres. Fils d’Alain Marleix, ancien ministre, il s’était imposé comme une figure respectée de la droite française. Élu en 2012, il avait dirigé le groupe LR à l’Assemblée nationale entre 2022 et 2024. Proche de Michel Barnier, il s’était illustré par son engagement contre les dérives industrielles, notamment en présidant la commission d’enquête sur l’affaire Alstom. Salué pour son intégrité, il incarnait une voix rare dans la lutte contre la corruption au sein d’un paysage politique souvent critiqué pour ses compromissions.

L’ex-ministre russe des Transports, retrouvé mort – Un suicide présumé qui soulève des questions
Le 7 juillet 2025, une nouvelle tragique a secoué la Russie : Roman Starovoït, récemment démis de ses fonctions de ministre des Transports par décret présidentiel de Vladimir Poutine, a été retrouvé mort à son domicile dans la région de Moscou, quelques heures seulement après son limogeage.

Comment un homme de cette stature, récemment réélu et en apparence au sommet de sa carrière, aurait-il pu mettre fin à ses jours ? Les circonstances floues de sa mort invitent à la prudence.

Un suicide aux contours mal définis

La thèse officielle du suicide, bien que largement diffusée, repose sur des bases fragiles. Aucun détail concret n’a été rendu public : ni le lieu exact, ni la méthode employée, ni un éventuel mobile. Cette opacité est d’autant plus troublante dans une affaire impliquant une personnalité publique de premier plan. Pourquoi les autorités restent-elles si silencieuses ? Ce manque de transparence alimente naturellement les doutes et les spéculations.

La mort suspecte d’Eric Denécé et du Général Delawarde : un appel à la transparence
Ces derniers mois, la communauté du renseignement français a été ébranlée par une série de décès troublants, dont les plus récents concernent Eric Denécé, ancien officier de renseignement et directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R), et le Général Dominique Delawarde, figure militaire reconnue pour ses positions

Des liens littéraires inattendus

Au-delà de sa carrière politique, Olivier Marleix avait une facette moins connue : celle d’auteur. En 2021, il publie chez Robert Laffont un essai intitulé Les Liquidateurs, dans lequel il dénonce les collusions entre pouvoir politique et intérêts financiers. Par un hasard frappant, son livre sort en même temps que Braquage Data Noire, un ouvrage signé Zoé Sagan. Les deux œuvres, éditées par la même maison, étaient présentées côte à côte dans les librairies, et des témoignages confirment que Marleix et Sagan ont eu des contacts à cette période.

Ce lien littéraire prend une résonance particulière à la lumière des événements récents. En effet, Marleix a été retrouvé mort – officiellement par suicide – le 7 juillet 2025, soit exactement 48 heures avant le début d’un procès très attendu opposant Brigitte Macron à Zoé Sagan, prévu pour le 10 juillet. Ce procès, centré sur des accusations explosives portées par Sagan contre la Première dame, a mis l’Élysée sous pression. Dans ce contexte, la disparition soudaine de Marleix, qui partageait un passé éditorial avec Sagan, interroge. Était-il en possession d’informations sensibles ? Son décès est-il une coïncidence ou une pièce d’un puzzle plus vaste ?

Un contexte judiciaire et politique explosif

La proximité temporelle entre la mort de Marleix et le procès Macron-Sagan est d’autant plus troublante que des rumeurs circulent sur une volonté de l’Élysée d’« éliminer définitivement » Zoé Sagan, dont les révélations menacent de secouer le pouvoir. Sur les réseaux sociaux, certains vont jusqu’à craindre pour la vie de Sagan, évoquant des scénarios dramatiques – « espérons qu’on ne la retrouve pas morte, découpée en deux sous un métro », écrit un internaute, faisant allusion à son lien passé avec Marleix.

DGSI : Les morts suspectes qui ébranlent le silence des services secrets français
Le 3 juin 2025, un nouveau drame a secoué les murs de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), située à Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine. Un agent a été retrouvé mort dans le parking souterrain du siège, dans sa voiture de service, une balle tirée de son arme à feu.

Sans céder au sensationnalisme, ces spéculations soulignent une réalité : la mort de Marleix survient dans un climat de tension extrême. Son engagement contre la corruption et ses prises de position, notamment son soutien à Bruno Retailleau face à Laurent Wauquiez dans les luttes internes de LR, auraient pu faire de lui une cible. Ajoutée à cela, sa connexion avec Sagan, dont les enquêtes dérangent au plus haut niveau, renforce les soupçons d’une affaire plus complexe qu’un simple suicide.

Une enquête nécessaire


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