Un an avant d’être abattu en public d’une balle dans le cou devant des milliers de personnes, Charlie Kirk animait une émission où il défendait ardemment la peine de mort « publique, rapide et télévisée ». À ses côtés, un invité prénommé Tyler évoquait des exécutions historiques impliquant le cou.
Mediapart révèle que Guillaume Lample, cofondateur de Mistral AI, a orchestré chez Meta le téléchargement illégal de millions d'ouvrages piratés pour entraîner les modèles d'IA. Un scandale qui entache irrémédiablement la réputation d'éthique et de souveraineté de la licorne tricolore.
Le groupe activiste Anna’s Archive a revendiqué le « sauvetage » de près de 86 millions de morceaux du catalogue Spotify – représentant 99,6 % des écoutes mondiales –, rendus disponibles en torrents sans DRM, pour un total de 300 To de données.
215 policiers et gendarmes accusés de harcèlement sexuel, agressions ou viols sur 429 victimes
Disclose révèle un #MeTooPolice accablant : 215 policiers et gendarmes accusés de harcèlement sexuel, agressions ou viols sur 429 victimes entre 2012 et 2025. 40 % des agresseurs sont récidivistes, et une dimension raciste imprègne presque systématiquement ces crimes.
Derrière l’uniforme censé protéger, une culture d’impunité et d’omerta qui pourrit les institutions de l’intérieur.
L’Uniforme comme arme de prédation
En cette fin 2025, alors que la France se vante encore d’être la patrie des droits de l’Homme, une enquête explosive du média Disclose – publiée en juin dernier mais toujours d’une brûlante actualité – met à nu l’hypocrisie des forces de l’ordre. 215 agents, tous grades confondus, policiers nationaux, municipaux ou gendarmes, accusés de faits graves : harcèlement sexuel, agressions sexuelles, viols.
429 victimes identifiées, majoritairement des femmes (76 %), mais aussi des mineurs (18 %) et des hommes (6 %). Et le chiffre le plus révoltant : 40 % de ces prédateurs ont multiplié les victimes, prouvant une récidive structurelle.
Pire, Disclose souligne que ces actes s’accompagnent « presque toujours » d’une dimension raciste. Les victimes vulnérables – femmes exilées, migrantes, personnes racisées venues porter plainte pour violences conjugales ou en situation de précarité – sont ciblées précisément parce qu’elles sont perçues comme des proies faciles.
L’uniforme devient un outil d’intimidation : consultation illégale de fichiers pour récupérer des coordonnées, menaces avec arme de service, simulations de perquisitions, chantage à la régularisation ou à la plainte.
Tous, sans exception, ont détourné les moyens de l’État pour assouvir leurs pulsions.
La moitié des victimes sont des collègues féminines, harcelées dans les commissariats ou les brigades, soumises à un climat toxique où l’esprit de clan protège les agresseurs.
Les autres ? Des plaignantes venues chercher protection et qui se retrouvent violées une seconde fois, des interpellées en garde à vue, des adolescentes fugueuses. Le pouvoir policier, censé être un bouclier, se transforme en arme de domination sexuelle et raciale.
Impunité Institutionnelle : Le Véritable Crime Systémique
Ce n’est pas une poignée de « brebis galeuses ». C’est un système gangrené. Cinq agresseurs condamnés sont toujours en poste. Les sanctions ? Ridicules. Depuis 2021, la police nationale n’a recensé que 18 dossiers, avec à peine deux radiations.
La gendarmerie fanfaronne avec 223 sanctions disciplinaires en trois ans, mais la plupart se limitent à des blâmes ou des jours d’arrêt. La hiérarchie ferme les yeux, mutile les victimes en les mettant au placard, étouffe les plaintes sous l’omerta du « corps ».
Le ministère de l’Intérieur se cache derrière des communiqués lénifiants : « Une enquête est ouverte dès connaissance d’une plainte ». Mais les faits contredisent : récidive à 21 % chez les signalés, absence de statistiques nationales (contrairement aux pays anglo-saxons), aucune interdiction formelle de relations sexuelles avec des personnes en position de vulnérabilité. Résultat ? Une impunité qui encourage les prédateurs.
Vers l’Implosion Inévitable : Prédictions pour 2026-2030
Ce scandale n’est que la partie émergée. En 2025, les réseaux sociaux et les leaks indépendants ont déjà amplifié les voix des victimes. Demain, avec l’essor des IA de surveillance citoyenne et des bases de données anonymes, la cascade de révélations deviendra tsunami.
Prédiction : 2026 sera l’année du point de rupture. Sous la pression d’une nouvelle vague #MeTooPolice, boostée par des enquêtes internationales et des comparaisons humiliantes (Royaume-Uni : 1 600 accusations en une seule année), l’État sera forcé à une commission vérité-réconciliation. Démission collective de hauts gradés, procès en série, effondrement de la légitimité policière déjà fragilisée par les crises sociales et migratoires.
À l’horizon 2030, une police « purgée » émergera : recrutement diversifié imposé, algorithmes de contrôle interne obligatoires, formations radicales sur le genre, l’antiracisme et l’éthique.
Les clans machistes seront brisés par des quotas et des inspections indépendantes. Mais gare au vide créé : cette implosion pourrait ouvrir la porte à des milices privées ou à un durcissement autoritaire, où la sécurité deviendrait marchandise pour les plus offrants.
Le racisme structurel, entrelacé à ces violences sexuelles, accélérera la défiance des quartiers populaires. Sans réforme profonde, les forces de l’ordre risquent de perdre toute crédibilité, transformant les « gardiens de la paix » en accusés permanents.
APAR.TV l’affirme sans détour : ce n’est pas une crise passagère, c’est la fin d’un modèle pourri. La transparence forcée détruira les vieux bastions pour en faire naître de nouveaux.
Les victimes d’aujourd’hui écrivent l’histoire de demain. Et nous serons aux premières loges pour documenter la chute et la renaissance.
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