La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Cette liste que m’a transmis le Russian Film Hub présente les 10 films (sous-titrés) les mieux notés par Kinopoisk (la version russe de imdb.com). Des films coup de poing pour les uns, des coups de cœur pour les autres. En tout cas, une sélection qui ne ressemble à aucune autre. Loin, très loin, de ce que vous propose Netflix, Apple ou Amazon. Ici vous allez pouvoir découvrir les fondamentaux de l’âme russe.
Il y a, malgré tout, quelques films sur la liste que les cinéphiles les plus avertis reconnaîtront. Comme « The Cranes Are Flying » qui avait remporté la Palme d’Or à Cannes en 1958. L’une des plus hautes distinctions qu’un film russe ait reçu dans la période de l’après-guerre. Le film de Mikhail Kalatozov se déroule avant et après la Seconde Guerre mondiale, et l’actrice principale Tatyana Samoylova a un rôle aussi emblématique que ce qu’Ingrid Bergman à pu produire Casablanca. Frisson garantie.
Le reste des films sera, nous en sommes certains, une découverte pour vous. Vous allez découvrir par exemple le réalisateur Leonid Gaidai qui le Blake Edward russe. Ses intrigues sont centrées sur des escrocs avec des fausses identités. Vous pourrez aussi découvrir une adaptation cinématographique de Sherlock Holmes qui, selon les critiques de l’imdb russe, « rivalise avec celle de Jeremy Brett et Basil Rathbone ».
Le film numéro 1 de la liste (Ivan Vasilyevich Changes His Profession) est un voyage dans le temps où un gérant d’appartement et un cambrioleur maladroit sont transportés au 16ème siècle. On pourrait penser à un délire des Monty Python mais en version russe. Ce fut un énorme carton au box-office de l’époque.
A voir aussi, avant les autres, le film « Welcome, or No Trespassing », une comédie farfelue dans laquelle les enfants en ont après leurs ravisseurs adultes. Cela vous fera penser à « Moonlight Kingdom » de Wes Anderson. Il y a aussi « Brother », réalisé en 1997, qui est un film de gangsters se déroulant dans les rues de Saint-Pétersbourg et qui peut être considéré comme l’un des films russes post-soviétiques les plus populaires du pays.
Vous l’aurez compris, il y en a pour tout les goûts. Et cela nous rappelle que les russes, en plus d’être des tueurs en musique et en littérature sont aussi des cinéastes hors du commun. Bon film et bonne découverte à tous.
1. Ivan Vasilyevich change de profession Synopsis : Ivan Vasilyevich change de profession est un film de science-fiction soviétique de 1973 réalisé par Leonid Gaidai. À l’étranger, le film est également parfois intitulé, « Ivan Vasilievich: Retour vers le futur ». Le film est basé sur la pièce de théâtre de Mikhail Boulgakov, Ivan Vasilyevich. Il raconte l’histoire d’un inventeur qui crée une machine à remonter le temps qui ouvre un portail vers le XVIe siècle.
2. L’Opération Y et les autres aventures de Shurik Synopsis : L’Opération Y est surtout connue des étudiants russes comme le premier film russe qui était à leur image. C’est le premier long métrage de Leonid Gaidai, un réalisateur prolifique et c’est très amusant à regarder.
3. Le bras de diamant Synopsis : Le bras de diamant est l’une des comédies soviétiques les plus appréciées. C’est le troisième film soviétique le plus populaire jamais vu avec 77 millions de vues au box-office. Et c’est l’un des nombreux films que Leonid Gaidai a réalisé sur une période sa prolifique entre 1961-1975.
4. Seuls les vieillards vont au combat Synopsis : Seuls les vieillards vont au combat est un film de guerre ukrainien réalisé par Leonid Bykov en 1973. Il raconte l’histoire d’un escadron de l’armée de l’air soviétique qui se double d’un groupe amateur pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est un film emblématique avec des personnages et des répliques cultes qui se sont infiltrés dans la culture russe du quotidien.
5. Gentlemen of Fortune Synopsis : Gentlemen of Fortune est un film de 1971 réalisé par Aleksandr Sery. C’est l’une des comédies soviétiques les plus populaires de tous les temps avec plus de 65 millions de vues au box-office. Et pourtant, le film n’a presque pas été diffusé sur grand écran. Les services de sécurité soviétiques ont généralement considéré la production du film de manière très positive. Le film a même fait rire aux larmes le ministre de l’Intérieur Nikolay Shchelokov. Cependant, en raison de tout son jargon carcéral, le film n’a reçu le feu vert que lorsque Leonid Brejnev l’a vu.
6. Les aubes ici sont calmes Synopsis : The Dawns Here Are Quiet est un film soviétique de 1972 réalisé par Stanislav Rostotsky. Il est basé sur le roman de 1969 de Boris Vasilyev. Dès que Vailyev a commencé à publier le roman original dans le journal Yunost, il est devenu un succès. Puis, en 1971, le théâtre Taganka de Moscou en fit une adaptation théâtrale. Ainsi, lorsque le réalisateur et vétéran de la Seconde Guerre mondiale, Rostotsky, l’a adapté comme film, il était sûr de créer un grand succès. Aujourd’hui, les Russes considèrent The Dawns Here Are Quiet comme l’un de leurs films de guerre les plus classiques. Et le film bénéficie également d’une large portée dans le monde entier. Il a reçu une nomination pour la catégorie du meilleur film en langue étrangère aux Oscars. Et son remake de 2015 en série télévisée a également bien fonctionné.
7. Enlèvements, style caucasien Synopsis : Kidnapping, Caucasian Style est une comédie soviétique de 1967 du réalisateur prolifique Leonid Gaidai. Le titre et l’intrigue sont des références à deux œuvres littéraires toutes deux intitulées, Le Prisonnier du Caucausus – poème d’Alexandre Pouchkine, l’autre de Léon Tolstoï. L’intrigue du film est centrée sur une vieille tradition du Caucase d’enlèvement de mariées. Le film est le deuxième long métrage majeur de Leonid Gaidai. Il fait suite au succès de l’opération Y deux ans auparavant et met en vedette plusieurs des mêmes personnages. Aleksandr Demyanenko reprend son rôle de Shurik et le trio criminel avec Yuriy Nikulin, Georgiy Vitsin et Yevgeni Morgunov revient à l’écran ensemble en tant que bandits. C’est le quatrième film soviétique le plus populaire de tous les temps, avec 76,5 millions de billets vendus dans les théâtres soviétiques.
8. Le Aventures de Sherlock Holmes et du Dr Watson
9. Cœur d’un chien Synopsis : Heart of a Dog est un film soviétique réalisé par Vladimir Bortko en 1988. Le film a immédiatement acquis une renommée internationale et, en quelques années, a été reconnu comme un chef-d’œuvre. Le film est une adaptation du roman éponyme de Mikhail Boulgakov. Et il est célèbre pour sa fidélité au texte original.
10. Moscou ne croit pas aux larmes Synopsis : Moscou ne croit pas aux larmes est un film soviétique primé aux Oscars. On dit qu’il dépeint la célèbre âme russe mieux que tout autre film.
+ bonus : « The Girls » Synopsis : The Girls est l’un des films soviétiques les plus populaires des années 1960. Ce film réconfortant est parfois comparé à Cendrillon dans l’Oural rural. Après avoir obtenu son diplôme de son école d’orphelinat, Tosya vient travailler dans un petit village de l’Oural. L’économie de la communauté repose sur l’industrie locale du bois et Tosya se retrouve bientôt entourée de bûcherons bruyants. Après une altercation dans la salle de danse du village, Tosya se révèle être une personne féroce. À cause de cela, deux groupes rivaux de jeunes bûcherons placent un pari sur qui peut gagner le cœur de Tosya.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
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