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En parlant de l’œuvre de Nan Goldin, Guido Costa écrit : « Même dans ce qu’elle a de plus cru et de plus marginal, sa photographie parvient à utiliser des archétypes communs, des mémoires collectives, des histoires avec lesquelles la plupart d’entre nous peuvent s’identifier. »
À l’opposé des photographes reporters, elle photographie ses amis, ses amants et sa famille. Marginale, elle se penche avec amour sur les communautés minoritaires liées au monde de la nuit, de la drogue, avec une tendance à l’autodestruction...