Il aurait pu être le représentant d’un monde artistique décomplexé. Du libertinage inspiré. De ceux qui baisent crûment, mais qui créent subtilement. Mais au lieu de cela, Terry Richardson a posé un fond blanc dans son salon et il shoot les gens là, sans mise en scène, sans originalité, sans génie. Estimant (à juste titre) que son seul nom suffira à la renommée de ses photos.
Un blog lui a été dédié, I Miss The Old Terry, où l’on voit plus le pénis du photographe que son objectif. Et sincèrement, on préfère Terry Richardson ainsi, profitant avec liberté des plaisirs de la vie et ne prétendant pas posséder un quelconque talent. Ou alors le talent d’avoir su faire jouer l’influence d’un réseau libertin et hédoniste.