En cinéma, on tend à l’oublier, happé par la narration (hormis quand on s’appelle Terrence Malick et qu’on sacrifie volontairement l’histoire, pour appuyer sur son propre talent), aucun plan n’est le fruit du hasard. Et comme en littérature, la première et la dernière phrase ont un goût particulier. Une essence presque mystique même.
Avec cette vidéo montrant en parallèle les premiers et derniers plans de certains des plus grands films du cinéma, on voit apparaître l’intention générale du réalisateur. Parfaitement claire dans le cas de Black Swan (naissance dans les ténèbres et mort dans la lumière) ou de Gone Girl (situation de statu quo après 2h30 de film).
Un nouveau travail d’analyse excellent de Jacob T. Swinney