Martial Schmeltz a décidé de mettre sa caméra au service de Pierre Frey en se promenant dans des lieux iconiques de Paris, mais pourtant secrets.
Mais surtout, en offrant l’atavique triangle amoureux entre Amandine Decroix, Pierre-Benoit Talbourdet Napoleone et « la femme » qui ne parle pas, mais qui sait.
On se croise, on se perd, on se cherche et on se désire en se fuyant. Rien de vraiment nouveau, mais comme l’homme répète ce schéma depuis des siècles, les réalisateurs s’en font l’écho.