Quentin Caffier nous plonge dans l’érotisme de contorsionnistes. Sans que ces jeunes femmes ne se plient en huit, leur souplesse, les paillettes et les nez de clown (oui, oui) évoquent le monde du cirque. Les nymphes se contorsionnent sur le sol dans une chorégraphie à mi-chemin entre la danse nuptiale et la chaleur d’un rut.
L’enchainement des scènes, l’œil voyeur de la caméra, le jeu des couleurs… l’un des plus beaux films sensuels de ce début d’année.
Le film s’intitule The Hourglass, soit le sablier. Et avec un titre aussi sibyllin, tout est remis en cause.