Le photographe de Copenhague, Noam Griegst, signe Infinitas. Un trip à la sensualité psychotropique. Une plongée fétichiste dans une sorte de Fantôme de l’Opéra, où l’apparition des courbes de l’incontournable Louise Pedersen, épaissi un mystère orgasmique.
« Le film parle vraiment de se perdre dans quelqu’un, de la vanité, du mystère et du cercle vicieux : d’où le tire Infinitas« .