On pourrait croire à une œuvre travaillée sous acide ou en état d’ivresse, mais Milan Hrnjazović ne se contente pas de flouter le corps, il le métamorphose. Pas de hasard, les traits orientés et repensés pour que s’exprime l’être comme le Serbe les voit.
Des peintures pensées comme un travail digital, un pinceau photoshopé et une beauté animale, malade, mais magnifiée.