Son nom est partout. Il circule comme un murmure insistant, un cri de fond. C’est la photographe qui semble devoir éclabousser l’avenir de son talent.
Ses portraits sont ultra travaillés, montrant une réalité magnifiée, et même quelque peu torturée. La lumière donne l’humeur du cliché, un sourire ou une ride sur la pellicule.
L’Australienne se spécialise dans des séries de portraits très personnelles. Elle participe aussi à des films courts ou des clips. Son style y est encore plus marqué, rendu totalement onirique par le mouvement.
Un univers qu’on devrait voir se multiplier sur les papiers glacés.