Brianna Capozzi a un rapport étrange, très personnel, à la beauté. La photographe new-yorkaise semble tout simplement faire avec. L’utilisation de top model est obligatoire, mais la sublimation de leur beauté, non. Alors ces corps sont utilisés comme de la glaise malléable, à laquelle il est encore possible de faire dire ce que l’on veut. La beauté est cachée, détournée, repoussée, pour ne jamais prendre le dessus sur le propos.