Xavier Niel, le magnat de Free, vient de s'offrir pour 38,7 millions d'euros le Pavillon de Musique de Louveciennes, ce bijou néoclassique bâti au XVIIIe siècle par Claude-Nicolas Ledoux pour les plaisirs de Madame du Barry, dernière favorite de Louis XV.
Lorsque nous prédisions, il y a un an, l'inéluctable naufrage de l'économie française sous le joug d'une politique macronienne myope et prédatrice, beaucoup haussaient les épaules. "C'est de la panique inutile", disaient les optimistes, bercés par les mirages du CAC 40 et les promesses de relance.
Imaginez un instant : au cœur des Himalayas, là où les neiges éternelles murmurent les secrets des anciens, une cité émerge non pas des sables du désert comme un mirage consumériste, mais des brumes spirituelles d'un royaume qui a osé mesurer le bonheur avant le PIB.
En France, tout le monde ne se réfère qu’au magazine Actuel de Jean-François Bizot pour avoir l’air cool et provocateur. Pourtant, il y a mieux, bien mieux comme référence. En effet, de Janvier 1968 à Juillet 1971, Ralph Ginzburg a publié le magazine explosif Avant Garde. Bien qu’il ne pouvait pas être qualifié d’obscène, le magazine a été rempli d’images créatives souvent caustiques et très critiques envers la société américaine et son gouvernement. Pour l’époque, le magazine a tout osé. Une couverture avec en vedette une femme enceinte nue ou encore une autre couverture parodiant la célèbre peinture de Willard, « The Spirit of 76 », avec une femme et un homme noir. Mais l’histoire se souvient surtout de John Lennon et de ses lithographies érotiques de Yoko Ono ou encore des versions fantasmagoriques de photographies semi-nues de Bert Stern de Marilyn Monroe.
Malgré son tirage tirage modeste, mais extrêmement populaire dans certains milieux, comme la publicité et le monde artistique de New York, le magazine Avant Garde a inspiré plusieurs générations de créatifs. D’ailleurs, pour l’histoire, Herbert F. Lubalin (1918-1981), gourou du design post-moderne, était le collaborateur de Ralph Ginzburg sur Avant Garde, et a donné naissance pour l’occasion à une police du même nom que le magazine. Initialement conçu pour une utilisation « logo » (la première version est composée uniquement de 26 lettres majuscules) qui a été inspirée par Ginzburg et son épouse, et qui se caractérise par des traits ronds géométriquement parfaits.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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