Il en dit peu sur lui-même. Le Britannique, Chris Labrooy, renforce par là-même son côté street artist. C’est que son design est pleinement inspiré du graff des 90’s. Et sa discrétion l’est tout autant. Une discrétion communicationnelle, parce que son travail, lui, s’affiche, s’étale. De la couverture du Time aux 4×3 de Londres, il est partout.
Presque innocent dans son design, enfantin pour tout dire, le message se fait oublier derrière un sourire charmeur pour porter une signification plus lourde.
Une approche de l’esthétique comme un écrin de légèreté, d’une beauté visuelle directe et pure, qui interpelle les sens, capture l’attention de l’œil, et force le cerveau à suivre.